
Les retours à l’OM : une histoire qui fait mentir les préjugés
On entend souvent que revenir dans son club, c’est un signe de manque d’ambition, voire de déclin, vous ne trouvez pas, les amis ? Pourtant, quand on regarde de près l’histoire récente de l’OM, ce n’est pas si simple. On a beau se méfier des come-back dans le foot moderne – entre nostalgie et soupçon d’opportunisme –, Marseille a souvent prouvé que ces retours pouvaient écrire de sacrées belles pages. Alors, mauvaise idée ou tradition qui a du bon ? On fait le point ensemble, en mode comptoir mais factuel !
Mandanda, Payet, Fanni, Thauvin, Barthez : cinq retours, cinq réussites
Si on applique le filtre strict — seuls ceux qui sont revenus porter le maillot marseillais en match officiel après avoir tenté leur chance ailleurs —, on a cinq cas bien connus au XXIe siècle. Steve Mandanda, d’abord : parti à Crystal Palace, revenu après une courte pige anglaise, il boucle la boucle à Marseille en s’imposant à nouveau comme le patron dans les cages. Qu’on se le dise, sans lui, beaucoup de saisons auraient tourné au vinaigre. Il a rassuré, fédéré, et rappelé à tout le monde ce que voulait dire “être marseillais”.
Pareil pour Dimitri Payet. On l’a vu briller à West Ham puis à l’Euro 2016, et c’est un OM ambitieux qui va le chercher, quitte à aligner plus de 30 millions d’euros. Un pari risqué ? Oui, mais largement gagnant : Payet, c’est du spectacle, des stats, et surtout un rôle de leader technique et émotionnel. On a vibré, râlé, espéré avec lui — vous aussi, non ?
Rod Fanni, ce n’est pas le come-back le plus flamboyant, mais dans un OM en crise, il a servi de ciment, de repère. Il n’y a pas que les stars dans la vie : parfois, c’est le soldat discret qui fait la différence. À méditer !
Et puis il y a Florian Thauvin. Son départ à Newcastle ressemblait à une mauvaise idée, et il n’a pas tardé à s’en rendre compte. Le retour à Marseille, c’est le vrai décollage : buts, passes, sélection, et une Coupe du monde ! Comme quoi, un come-back, ça peut aussi être le début de la maturité. Pour finir, impossible de ne pas citer Fabien Barthez. Revenu en urgence, il a littéralement porté l’équipe jusqu’en finale de Coupe UEFA. Qui s’en souvient avec émotion ?
Pourquoi ça fonctionne (souvent) à Marseille ?
Alors, qu’est-ce qui fait que ces retours réussissent à l’OM ? La réponse n’est pas magique, mais on a notre petite idée… Déjà, ici, on ne vient pas juste chercher un contrat tranquille. Il y a la pression, la passion, et surtout l’attachement à la ville et au maillot. Revenir à Marseille, c’est un défi : soit tu te plantes, soit tu gravis une marche de plus dans la légende du club. Et puis, on ne va pas se mentir, il y a une vraie culture du pardon (quand tu mouilles le maillot), et un public prêt à retomber amoureux… à condition de prouver sur le terrain. Vous êtes d’accord ?
Le cas “Auback” : coup de poker ou vraie bonne idée ?
Et maintenant, on fait quoi avec cette rumeur d’un retour d’Aubameyang – le fameux “Auback” ? D’un côté, on peut se dire que c’est risqué : il a pris de l’âge, les finances du club ne sont pas extensibles, et on a parfois tendance à vouloir rejouer des histoires passées. Mais l’histoire des retours à l’OM montre que, quand c’est réfléchi, ça peut marcher fort. Aubameyang connaît la maison, il a le goût du challenge, et il pourrait aussi être ce cadre offensif qui manque parfois à notre effectif. Surtout, on ne va pas se mentir, ça ferait vibrer le Vélodrome… à condition que ce soit sportivement et économiquement raisonnable. Vous en pensez quoi, vous ? Un “Auback”, c’est du réchauffé ou la bonne surprise à venir ?
On en discute ?
Allez, c’est votre tour : selon vous, faut-il croire au retour gagnant d’Aubameyang à l’OM, ou on ferait mieux de miser sur du sang neuf ? Quels sont vos souvenirs préférés de ces come-back marseillais ? Partagez vos avis dans les commentaires, les amis, et vive notre OM !
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