Un transfert à 75 millions d’euros en deux temps

Victor Osimhen est sur le point de s’engager avec Galatasaray, après plusieurs semaines de négociations intenses avec Naples. Les deux clubs ont validé un accord autour d’un montant total de 75 M€, réparti en deux versements : 40 M€ immédiatement, puis 35 M€ dans un an. Ce transfert marquerait un tournant majeur pour le club turc, qui s’offre ainsi l’un des buteurs les plus convoités d’Europe.

Une clause pour verrouiller la suite

Parmi les détails cruciaux négociés entre les deux directions figure une clause pénale interdisant toute revente à un autre club italien pendant les deux prochaines saisons. Cette exigence, posée par Naples, vise à éviter que son ancien attaquant ne revienne en Serie A par un circuit indirect, stratégie déjà observée par le passé dans certaines opérations.

Un dernier verrou à faire sauter

Malgré cet accord quasi finalisé, une condition reste encore à clarifier : la clause de revente. Les deux parties n’ont pas encore validé les modalités exactes d’un pourcentage à reverser à Naples en cas de future vente. C’est le dernier point à régler avant l’officialisation du transfert, qui pourrait intervenir dans les jours à venir.

Galatasaray frappe fort, Naples tourne une page

Pour Galatasaray, ce recrutement serait un coup retentissant, aussi bien sur le plan sportif que médiatique. Le club stambouliote cherche à passer un cap sur la scène européenne. Du côté napolitain, cette vente signe la fin d’un cycle entamé en 2020, lorsque Osimhen avait été recruté pour plus de 70 M€ depuis Lille. Auteur de 76 buts en 133 matchs sous le maillot napolitain, il laisse une empreinte indéniable.

Le Stade Rennais intensifie ses recherches de latéraux après les départs de Truffert et Assignon. Le club breton cible Quentin Merlin de l’OM et Przemyslaw Frankowski de Galatasaray. Si les négociations avancent avec Marseille, la concurrence est rude pour le Polonais, sous contrat jusqu’en 2028. Rennes veut conclure vite avant la reprise de la Ligue 1.

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Osimhen ne se présente pas à la reprise avec Naples

Lundi matin, le SSC Napoli a lancé sa préparation estivale avec un groupe restreint de quatorze joueurs. Mais une absence a rapidement attiré l’attention : celle de Victor Osimhen. Le club italien a publié un communiqué sobre indiquant que l’attaquant nigérian n’avait pas participé aux tests physiques du jour et avait transmis un certificat médical. Aucune précision n’a été donnée sur la nature de ce dernier, mais ce contretemps intervient en pleine période de négociations pour son avenir.

Un transfert qui se complique avec Galatasaray

Prêté la saison dernière à Galatasaray, où il a brillé avec 26 buts et 5 passes décisives en Süper Lig, Osimhen espérait y rester. Mais selon les informations de Fabrizio Romano, les discussions entre les deux clubs sont dans l’impasse. Naples réclame 40 millions d’euros immédiatement, 35 millions supplémentaires d’ici 2026, ainsi qu’un pourcentage à la revente. Des conditions jugées inacceptables par le club turc, qui propose 35 millions étalés jusqu’en 2027, sans clause de revente. Les négociations sont toujours ouvertes, mais sous tension.

Un joueur prêt à tourner la page napolitaine

Arrivé à Naples en 2020, Osimhen a été l’un des grands artisans du Scudetto décroché en 2023. Son départ vers la Turquie représenterait une nouvelle étape dans sa carrière, après des passages remarqués à Lille et Charleroi. À 26 ans, il semble déterminé à quitter l’Italie, même si la situation contractuelle retarde l’échéance.

Le feuilleton autour de l'avenir de Victor Osimhen semble enfin sur le point de se conclure. Après un prêt fructueux à Galatasaray, où il a brillé par ses performances, l’attaquant nigérian, sous contrat avec Naples, pourrait bien poser ses valises définitivement en Turquie. Après des mois de spéculations, entre les offres saoudiennes et les tentatives de Galatasaray de prolonger son prêt, les négociations ont pris un tournant décisif.

Selon les dernières informations de Sky Italia et des médias turcs, Galatasaray serait désormais prêt à payer la clause libératoire d'Osimhen, fixée à 75 millions d'euros par Naples. Ce montant serait un record pour un transfert impliquant un club turc, illustrant l'ampleur de l'investissement réalisé par le champion de Turquie. Cette somme devrait être suffisante pour convaincre Naples, malgré sa réticence à laisser partir son attaquant vedette. Le joueur, qui a inscrit 37 buts et 8 passes décisives en 41 matchs cette saison, a été essentiel dans le succès de Galatasaray, contribuant largement à leur doublé Coupe-Championnat, devançant notamment le Fenerbahçe de José Mourinho. Le transfert d'Osimhen représenterait un coup de maître pour Galatasaray, qui cherche à se renforcer avec des joueurs de classe mondiale. Après avoir signé Leroy Sané en provenance du Bayern Munich et lancé des discussions pour recruter Hakan Çalhanoglu de l'Inter Milan, le club stambouliote continue d'afficher ses ambitions. Le recrutement d'Osimhen serait un atout majeur pour leurs projets européens et nationaux.

Il semble désormais inévitable que l'attaquant de 25 ans prenne la direction de Galatasaray, où il poursuivra son ascension, prêt à dominer le championnat turc et à faire briller son équipe en Ligue des champions.

Et si Serge Aurier (32 ans) portait actuellement les couleurs de l’Olympique de Marseille. Sans club depuis l’été 2024 après des passages par Galatasaray et Nottingham Forest, l’Ivoirien a confié dans un podcast avec Kampo avoir été approché par l’écurie phocéenne dans un passé relativement récent.

« On m’a déjà proposé (de signer à l’OM, NDLR). Benatia m’en a parlé, j’ai jamais donné suite. Je lui ai dit clairement que ça ne m’intéressait pas, et j’étais sans club. Je suis très loyal moi. Je préfère ne pas manger que de signer à l’OM. Et à cette période là j’avais pas de club, c’est mon gagne-pain, mais non. Moi je suis un Parisien, j’ai fait mes classes ici en région parisienne, je ne pouvais pas me permettre de signer à Marseille. Et ça fait bizarre, tu vois dans les Clasicos tu dis "allez Paris", quand tu gagnes t’es le plus heureux au monde, et là tu fais l’inverse, c’est quelle sensation que tu vas recevoir de l’autre côté ? », a indiqué l’Ivoirien. Loyal.

En novembre dernier, Sacha Boey s’était entretenu dans les colonnes de FM dans le cadre d’un évènement organisé par l’équipementier Under Armour. L’occasion pour le joueur du Bayern Munich de nous en dire plus sur la vision qu’il a d’un latéral droit moderne. En tant que spécialiste du poste, son avis était forcément précieux. «Un latéral moderne doit être complet, il faut qu’il sache à la fois défendre et attaquer. Il faut aussi qu’il puisse jouer dans l’axe parfois pour libérer l’espace pour son ailier. En fait, aujourd’hui, un latéral, il faut qu’il sache pratiquement tout faire», nous avait-il expliqué.

Par la suite, il avait évoqué les différences entre la Ligue 1 et la Bundesliga. Deux championnats qu’il connaît sur le bout des doigts et des pieds. «La Ligue 1, c’est trop dur, parce que les excentrés contre lesquels tu joues, c’est des excentrés qui sont là pour te fixer et qui vont tous vite donc ça veut qu’il faut être concentré tout le match. En Bundesliga, c’est différent, par exemple un joueur comme moi peut gérer son match avec sa vitesse. En Ligue 1, je ne pouvais pas faire ça.» Une ligue qu’il a découverte avec le Stade Rennais puis Dijon, avant de signer à Galatasaray et enfin à Munich.

L’OM apprécie Sacha Boey

Mais il n’est pas impossible que sa prochaine étape soit en France. Selon nos informations, l’Olympique de Marseille, qui recherche un latéral droit et qui a laissé de côté la piste Nelson Semedo, s’intéresse tout particulièrement à son cas. Son profil et ses qualités sont appréciés. Cela était déjà le cas l’hiver dernier, puisque son nom avait été déjà mentionné dans la cité phocéenne. Six mois plus tard, Sacha Boey plaît toujours autant aux Olympiens. D’autant que le Franco-Belge n’est pas un titulaire indiscutable en Bavière. En 2024-25, il a été utilisé à 18 reprises toutes compétitions confondues, mais seulement 8 fois en tant que titulaire. Le temps pour lui de marquer 1 but et de délivrer 4 assists.

Il faut aussi préciser qu’il a été stoppé à plusieurs reprises durant l’année à la suite de pépins physiques. En effet, il a été arrêté 62 jours entre septembre et novembre en raison d’une déchirure au ménisque (12 matches manqués). Ensuite, c’est une blessure à la cheville qui l’a éloigné des terrains durant 39 jours (5 matches ratés). Ceci explique aussi le fait qu’il a moins joué. Cela n’a donc pas échappé à l’OM qui est séduit par le joueur de 24 ans et veut un prêt avec option d’achat. Mais il y a de la concurrence puisque plusieurs écuries anglaises sont aussi intéressées selon nos informations. De son côté, Sacha Boey se verrait bien continuer au Bayern Munich, où son contrat prend fin en 2028. Le club bavarois est, de son côté, ouvert à un départ en transfert sec.