
OM: Palmieri, the Warrior Who Fell in Love with the Vélodrome
Already struck by the roar of the Vélodrome, Palmieri speaks of his love for the shirt and promises to fight for his teammates and the supporters.
« Porter ce maillot est très important pour moi »
Dès ses premiers mots sur Twitch, Emerson Palmieri a touché le cœur des supporters marseillais. « L’OM est un très grand club, en France, en Europe et dans le monde. Depuis que je regarde le football, je me souviens de Didier Drogba. Porter ce maillot est très important pour moi et ma famille. »
Une déclaration d’amour simple, sincère, qui rappelle que l’OM reste une institution respectée bien au-delà de l’Hexagone. Pour l’Italo-Brésilien, rejoindre Marseille, ce n’est pas seulement un transfert : c’est un honneur.
Le choc du Vélodrome
Palmieri n’a pas mis longtemps à comprendre ce qui rend Marseille unique : son stade. « J’ai joué dans beaucoup de stades en Angleterre et en Italie. Mais je n’avais jamais vu un match où le stade faisait un vacarme incroyable 40 minutes avant le coup d’envoi comme au Vélodrome. Je n’arrivais même pas à parler à mes coéquipiers. »
L’ancien joueur de Chelsea et West Ham ose la comparaison : « Peut-être que Liverpool s’en rapproche par moments, mais le Vélodrome m’a vraiment marqué. Je suis heureux d’être du bon côté et de représenter ces supporters incroyables. »
Quand un joueur habitué à Anfield ou Stamford Bridge place l’Orange Vélodrome dans son top mondial, c’est que l’empreinte marseillaise est déjà forte.
Un champion au service de l’OM
À 31 ans, Palmieri n’arrive pas les mains vides. Son palmarès parle pour lui : Ligue des champions avec Chelsea, Europa League, Conference League avec West Ham, Euro 2021 avec l’Italie. Peu de joueurs en Ligue 1 affichent un tel CV.
De Zerbi le sait, et compte sur son expérience : « Il m’a dit qu’il voulait s’appuyer sur moi, surtout avec la Ligue des champions cette année. Je viens pour aider une équipe déjà forte, et construire quelque chose de solide avec mes coéquipiers. »
Un rôle de cadre, de guide pour un OM qui rêve enfin de franchir un cap en Europe.
Le profil couteau-suisse
Mais Emerson ne se résume pas à son palmarès. Sur le terrain, il revendique une identité claire : « D’abord, bien défendre. Ensuite, participer au jeu, combiner, aller vite vers l’avant. J’aime le jeu technique, et je sens qu’ici ça correspond bien à mon style. »
Il n’oublie pas le mental : « Chaque match est comme une guerre : je donnerai tout pour mes coéquipiers et pour les supporters. »
Dans le vestiaire, il apporte aussi une touche brésilienne : la joie, le sourire, le liant humain. Ami proche de Nayef Aguerd, qu’il appelle « comme un frère », il incarne ce mélange de sérieux et de bonne humeur dont raffole un groupe.
Identité et racines
Palmieri ne cache pas ses attaches. Brésil et Italie sont gravés sur sa peau, littéralement : un tatouage mi-Brésil, mi-Italie, symbole de sa double identité. Autre marque personnelle : le numéro 33, choisi à la Roma, devenu fétiche, jusqu’à être tatoué.
Formé à Santos, il n’oublie pas d’où il vient : « Dix ans de ma vie là-bas. Je suivrai toujours le club. » Et s’il évoque déjà un futur tatouage “OM” avec humour, son message final aux supporters sonne comme une promesse : « Vous pouvez attendre de moi du travail, du sérieux, du respect et beaucoup d’amour pour ce maillot. »
Un renfort qui respire OM
Palmieri n’est pas un transfert de plus : c’est un joueur qui arrive avec une histoire, un vécu et une identité forte. Il s’inscrit dans la tradition marseillaise des guerriers aimés du Vélodrome, mais aussi dans une logique moderne : un latéral expérimenté, technique, joyeux, qui connaît les sommets européens et veut rallumer cette flamme à Marseille.
Supporters, à vous : Palmieri peut-il devenir l’un des nouveaux leaders de l’OM version De Zerbi ?
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