En coulisses, c’est un scénario digne d’un mercato haletant : en moins de 24 heures, l’Olympique de Marseille a arraché la signature de Matt O’Riley. Derrière ce prêt sans option d’achat conclu in extremis, se cache un enchaînement d’événements improbables et de négociations menées tambour battant par Mehdi Benatia.
Du départ de Rabiot à la piste O’Riley
Tout commence au moment où le départ d’Adrien Rabiot vers l’AC Milan se confirme. Pour compenser la perte de son cadre, Benatia active immédiatement la piste O’Riley. Premier contact pris avec Dominic O’Riley, père et agent du joueur, mais Brighton ferme la porte : impossible de laisser filer un titulaire annoncé pour le début de saison. Le dossier semble mort-né.
Le clash qui change tout
Fin août, la donne bascule. Mis à l’écart face à Manchester City, Matt O’Riley affiche son mécontentement. Le courant ne passe plus avec Fabian Hürzeler, son entraîneur. Brighton, craignant que le conflit ne s’envenime et n’affecte le vestiaire, change de position et rouvre la porte à un départ. L’OM est immédiatement rappelé dans la danse.
24 heures chrono
Tout s’accélère. En une journée à peine, l’affaire est réglée : un prêt sec, sans option d’achat. Un format inhabituel pour les Phocéens, mais jugé nécessaire. Trop belle opportunité pour être laissée passer, d’autant que son profil rappelle celui de Rabiot. Pour Benatia, c’est un pari, mais aussi une manière de démontrer la réactivité d’une direction capable de bondir à la moindre ouverture.
Un coup à confirmer sur le terrain
En débarquant à Marseille dans ce contexte express, O’Riley incarne à la fois une urgence et une promesse. Titularisé d’entrée face au Real Madrid, il doit maintenant convaincre sur le terrain que ce coup de poker express peut devenir un vrai coup gagnant.
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