
OM – Bakola et Vaz, les minots qui font déjà vibrer le Vélodrome
À 17 et 18 ans, Darryl Bakola et Robinio Vaz ont séduit contre Séville. Technique, culot, efficacité : la relève olympienne est déjà là.
Des minots qui montent en puissance
Toujours invaincu en présaison (2 victoires, 3 nuls), l’OM de Roberto De Zerbi séduit par son jeu et son état d’esprit. Mais au-delà des recrues déjà intégrées, ce sont les jeunes du centre de formation qui attirent la lumière. Darryl Bakola et Robinio Vaz ont confirmé leur potentiel face au FC Séville (1-1), séduisant staff et supporters.
Bakola, la force tranquille
Milieu offensif de 17 ans, déjà aperçu la saison passée, Bakola a joué sans complexe. Titulaire contre Charleroi, puis encore très en vue contre Séville, il a bluffé par sa maturité technique et sa sérénité. Régulièrement trouvé par ses partenaires, il a osé, pris des initiatives et imposé sa justesse. Les réactions des supporters en disent long : « Encore une belle entrée », « Bakola, j’ai compris », « Il n’a que 17 ans ». L’avenir semble lui appartenir.
Vaz, un 9 en devenir
À 18 ans, Robinio Vaz s’affirme comme une alternative crédible au poste de numéro 9. Déjà testé en Ligue 1 la saison passée, il a montré contre Séville qu’il savait peser sur une défense. Percutant, lucide dans ses choix, il a créé des décalages et inquiété les Andalous, confirmant sa montée en puissance après un match plein contre Charleroi.
De Zerbi valide et encourage
Interrogé en conférence, Roberto De Zerbi n’a pas caché sa satisfaction :
« On compte sur eux. Ils auront plus de temps de jeu que l’an dernier. C’est la politique du club. Il ne faut pas les lancer trop tôt, mais il ne faut pas avoir peur de les mettre. »
Un message fort, preuve que le coach italien voit en Bakola et Vaz bien plus que des jokers estivaux : de réelles options pour la rotation.
Une génération prometteuse
Avec Bakola, Vaz, mais aussi Yanis Sellami et Keyliane Abdallah, l’OM peut espérer voir éclore une génération talentueuse. Dans une saison où les matches vont s’enchaîner, ces jeunes pourraient vite devenir indispensables. Et au Vélodrome, les minots qui percent n’ont jamais laissé indifférent.
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